Le numérique et les nouvelles technologies sont au centre de l’attention de l’UE, des programmes européens de ce septennat et d’initiatives importantes dans nos territoires.
Les nouvelles technologies numériques : une revue rapide
Le numérique et le potentiel des nouvelles technologies liées au numérique sont au cœur des intérêts stratégiques de l’Union européenne, représentent l’un des principaux terrains d’affrontement entre les puissances mondiales et ouvrent d’immenses opportunités et potentialités pour le développement des territoires.
Les progrès techniques et les applications de la sphère numérique évoluent de manière continue et vertigineuse : il est donc difficile d’en déterminer la nature et la portée de manière exhaustive. Dans un souci de clarification, sans prétendre à l’exhaustivité et en faisant l’impasse sur les détails techniques, nous pouvons tenter de définir certains des domaines d’avant-garde dans lesquels ils interviennent, ainsi que certains des termes qui reviennent le plus souvent dans les stratégies, programmes et projets numériques.
- Intelligence artificielle : Applications informatiques capables de processus autonomes d’apprentissage, de compréhension, de déduction, de prédiction et de résolution de problèmes ;
- Big Data : Gestion de systèmes d’information avancés permettant de collecter, d’organiser et d’exploiter de grandes masses de données (souvent de nature « micro ») à des fins d’analyse et de prévision plus approfondies ou autrement impossibles ;
- Centres de données : Grandes infrastructures où de grands volumes de données, nécessaires à de nombreuses applications numériques modernes et avancées, peuvent être collectés, organisés, traités et diffusés ;
- Calcul de haute performance (ou calcul de haute performance) : utilisation de systèmes de traitement de données à haute performance et à grande capacité (ou « superordinateurs ») pour des analyses de la plus haute complexité ;
- Informatique en nuage : Utilisation d’infrastructures informatiques centralisées capables de stocker, de traiter et de redistribuer les données d’un grand nombre d’utilisateurs de manière immédiate ;
- Informatique de pointe : Utilisation d’infrastructures informatiques capables de stocker et de traiter une quantité importante de données de manière rapide et décentralisée, à proximité de l’utilisateur ;
- Internet des objets : technologies qui permettent aux objets physiques (connectés entre eux et à des plateformes plus larges) de collecter et de traiter des données et d’interagir avec l’environnement et l’utilisateur ;
- Jumeaux numériques : Représentations numériques d’entités physiques (vivantes ou non) qui peuvent échanger des données et des informations avec leurs homologues réels, évoluer et réagir en conséquence ;
- VR / AR : systèmes simulant des expériences physiques par le biais d’interfaces numériques (réalité virtuelle) ou enrichissant la perception physique par le biais de données numériques (réalité augmentée) ;
- 5G e 6G : normes, technologies et infrastructures de télécommunication mobile (5e-6e générations : l’actuelle et la prochaine) qui permettent une transmission plus rapide et plus massive des données ;
- Géoréférencement Technologies permettant d’attribuer à une donnée (ou à un ensemble de données) des informations relatives à sa localisation géographique, de manière automatique et/ou dynamique ;
La blockchain est un grand livre numérique ouvert et distribué dans lequel l’authenticité des « blocs » de données enregistrés est certifiée automatiquement et structurellement, de manière sûre et permanente.
Technologies numériques de pointe : à quoi servent-elles ?
Les termes et technologies ci-dessus sont étroitement liés les uns aux autres. Par exemple : l’intelligence artificielle est alimentée (aussi) par les Big Data ; les Big Data utilisent, dans les gigantesques masses de données qu’elles manipulent, des informations issues du géoréférencement (également importantes dans de nombreuses blockchains) ; l’Internet des objets est l’une des applications de l’Edge computing ; les centres de données permettent le Cloud computing et l’utilisation des Big Data ; les Digital Twins ont des affinités avec l’Internet des objets et la réalité augmentée ; toutes ces applications nécessitent une transmission rapide et massive des données, garantie (actuellement) par la 5G.
De même, toutes ces technologies ont un impact potentiellement perturbateur sur la plupart des domaines thématiques, des politiques et des projets européens. Nombre d’entre eux font désormais partie de notre vie quotidienne : pensez aux assistants vocaux (intelligence artificielle, internet des objets) ou aux systèmes de stockage en nuage. Mais prenons quelques autres exemples, encore plus pertinents pour les personnes impliquées dans l’Europlanning.
L’Intelligence artificielle est virtuellement adaptable à tout objectif et domaine dans lequel une forme d’apprentissage, d’analyse, de choix, de prédiction ou de résolution de problèmes doit être appliquée. Une intelligence artificielle convenablement développée et « entraînée » pourrait, par exemple, rédiger un projet européen : en parcourant le réseau à la recherche des données disponibles (projets déjà financés, bonnes pratiques, caractéristiques de l’appel à propositions, caractéristiques du territoire, partenaires potentiels, etc. Pour éviter toute ambiguïté, heureusement ou malheureusement, il n’existe pas encore d’intelligences artificielles adaptées à cette fin, mais il y en a certainement déjà beaucoup qui sont capables d’effectuer un processus similaire sur d’autres types de textes. L’intelligence artificielle peut également être utilisée comme « intelligence augmentée », car elle peut (et c’est souvent le cas) fonctionner en soutien des analyses et des opérations effectuées par des intelligences humaines : par exemple, pour détecter des tendances ou des corrélations qui ne sont pas facilement discernables, ou pourquoi pas, en perspective, pour informer et soutenir la rédaction d’un projet.
La technologie Blockchain (qui fait partie d’une plus grande « famille » de technologies, les technologies du grand livre distribué ) peuvent avoir des usages tout aussi variés : financiers (crypto-monnaies et sécurité financière), juridiques et administratifs (identité numérique, certifications, contrats), artistiques (authenticité des œuvres, jouissance réglementée des œuvres numériques) et productifs (traçabilité et certification des produits). Cette même technologie a également des applications très intéressantes dans le domaine de la philanthropie et de la gestion transparente de projets, car elle permet de contrôler et de suivre un don (ou plus généralement une ressource) dans le temps, afin de vérifier son utilisation correcte par l’organisation bénéficiaire, minimisant ainsi le coût et le temps requis pour un contrôle actif. Le même principe de traçabilité peut s’appliquer aux ressources qui ne sont pas strictement financières, typiques de l' »économie de partage » et de l’économie sociale.
D’autres exemples sont encore plus immédiats et flagrants : la réalité virtuelle et les jumeaux numériques ont des champs d’application infinis dans les domaines médical, chirurgical, scientifique et de l’ingénierie, mais aussi dans l’éducation (formation par la réalité virtuelle) et l’aménagement du territoire (expériences touristiques numériques ou « augmentées », modélisation numérique pour la sauvegarde des territoires, etc.) ; le Big Data et la géolocalisation ont des applications infinies dans le domaine de l’analyse sociale et territoriale et permettent de prendre des mesures plus précises et plus opportunes.
Il ne s’agit là que d’exemples : le territoire du numérique est aussi vaste qu’il est encore inexploré, tant en termes de technologie que d’application. Pensez aux champs d’action infinis des technologies numériques « classiques » (internet, médias sociaux, communication vidéo) et à la réponse que nous pourrions donner aujourd’hui à ceux qui demandaient il y a 20 ou 30 ans : à quoi sert l’internet ?
Les technologies numériques « classiques » elles-mêmes n’ont pas encore épuisé leur potentiel et restent une source particulièrement prometteuse d’application et d’innovation dans les projets européens, dans tous les secteurs.
La « Décennie numérique européenne » : un enjeu crucial pour l’Europe
Comme nous le savons déjà et pour des raisons évidentes après ce bref rappel, « Une Europe prête pour l’ère numérique « est l’une des priorités actuelles de la Commission européenne. L’UE entend faire de cette décennie la « Décennie numérique européennele renforcement de la souveraineté et de la sécurité numériques, des normes, de la compétitivité en matière de données, de technologies et d’infrastructures, et des compétences numériques pour les secteurs public et privé. Les actions prévues couvrent de nombreux domaines, stratégies et mesures spécifiques, visant à développer au maximum et à appliquer au mieux un grand nombre des technologies mentionnées ci-dessus.
La stratégie numérique européenne stratégie numérique européenne est divisée en domaines et secteurs d’intervention spécifiques, allant des technologies de pointe à l’application opérationnelle de technologies numériques plus « classiques » (mais non moins importantes) :
- Société numérique : sécurité informatique, inclusion numérique, services et environnements publics numériques, secteur « vert » numérique, technologies de la langue, médias et culture numérique, l’internet de nouvelle génération, vie privée et sécurité en ligne;
- Technologies numériques avancées : informatique avancée, technologies numériques avancées, intelligence artificielle, données et informatique en nuage, Internet des objets;
- Coopération internationale dans le domaine du numérique relations internationales , numérique au sein du Conseil du commerce et de la technologie
- Économie numérique : compétences numériques , soutien à l’industrie , connectivité , les plateformes en ligne et le commerce électronique .
La lecture des pages proposées dans ces liens donne un aperçu simple et efficace de l’état de l’art et des priorités européennes dans ce domaine.
Comment cette question importante et transversale est-elle abordée dans les principaux programmes et fonds européens ? Nous poursuivons notre analyse par une brève revue.
Les principaux programmes de l’UE dans le domaine des technologies numériques et des nouvelles technologies
L’Europe numérique est le principal programme européen dans le domaine des technologies numériques. Nous avons consacré à ce programme un carte spécifique et une étude approfondie qui analyse ses caractéristiques et le plan de travail 2021-2022. Le programme intègre les objectifs de la Stratégie numérique européenne et la « Décennie numérique européenne – ainsi que de nombreux concepts et technologies présentés dans les paragraphes précédents.
Horizon Europe est le programme européen de référence pour tous les domaines liés à la recherche et à l’innovation et c’est de ce programme qu’est issu le programme Digital Europe dans la période de programmation actuelle. En plus d’intégrer les technologies numériques comme un aspect transversal, structurellement lié à la recherche et à l’innovation, Horizon Europe place le numérique comme l’un des « défis mondiaux » auxquels il entend répondre (Pilier II) et comme un thème clé pour les partenariats européens. Il s’agit donc d’une source de financement essentielle dans ce domaine. Nous avons consacré un fiche spécifique et divers aperçus : sur le programme de travail programme de travail et les journées d’information sur les webinaires approfondis et sur guides et vidéos destinés aux acteurs italiens .
Europe créative est le programme consacré à l’art, à la culture et aux médias, mais il accorde une grande attention aux différentes formes d’art et d’expression numériques (films, jeux vidéo, médias numériques) et à l’utilisation des nouvelles technologies sur des aspects liés à ses principaux domaines d’intervention : par exemple, il promeut l’utilisation des technologies numériques pour la visibilité et la jouissance des œuvres artistiques et culturelles, pour le développement des entreprises artistiques et culturelles et pour la surveillance des médias. Nous avons consacré à ce programme un onglet spécifique a approfondi sur ses principales caractéristiques et son plan de travail, et un article sur les nombreuses relations qui existent entre le programme et d’autres secteurs, y compris le numérique.
Investir dans l’UE est le programme de l’UE consacré à l’investissement : il vise à mettre à la disposition de différentes catégories d’acteurs un volume d’investissement plus important et plus diversifié, pour des projets stratégiques ayant un impact majeur. La numérisation en est un élément clé, puisqu’elle est identifiée comme l’un des principaux critères définissant l’aspect stratégique et l’impact d’un investissement ; la numérisation est également, dans le même temps, l’un des quatre domaines spécifiques dans lesquels les investissements seront encouragés. Nous avons consacré un onglet spécifique .
Le mécanisme Mécanisme « Connecter l’Europe est un autre programme clé pour le secteur numérique, bien qu’il soit principalement axé sur les infrastructures : en ce sens, il s’agit donc d’un programme complémentaire à Digital Europe. Il consacre un volet spécifique à la couverture des réseaux par les systèmes 5G, à l’amélioration des réseaux numériques et à la mise en œuvre et à l’accès aux réseaux à ultra-haute capacité. Nous avons consacré un onglet spécifique .
De nombreux autres programmes, bien qu’ils ne soient pas spécifiquement liés au numérique, mettent l’accent sur l’utilisation des technologies numériques pour atteindre leurs objectifs, dans le cadre de leurs propres actions et composantes, comme dans le cas des programmes suivants EU4Health (Objectif 7 : renforcer la disponibilité des données de santé, des outils et services numériques et la transformation numérique des soins de santé) et Erasmus+ (qui promeut les possibilités et les actions d’apprentissage numérique et utilise largement les réseaux de soutien et les plateformes en ligne). Dans d’autres programmes, le rôle du numérique est plus implicite, comme dans le cas de LIFE (les technologies numériques peuvent apporter un soutien important aux technologies environnementales et à la surveillance de l’environnement) et Programme du marché unique (soutien et actions pour les entreprises et les acteurs du numérique).
Programmes européens gérés au niveau national et régional
Le numérique est également un thème clé dans la programmation des Fonds structurels et de la facilité pour la relance et la résilience.
Comme nous le savons la politique de cohésion 2021-2027 à laquelle les Fonds Fonds structurels poursuit cinq objectifs majeurs, dont le premier (une Europe plus intelligente) est spécifiquement consacré au numérique. Cet objectif général s’accompagne de cinq autres objectifs spécifiques, dont deux sont encore plus étroitement liés au numérique :
- Objectif 1.II Numérisation (principalement consacré à la promotion et à l’adoption des technologies numériques dans les territoires, les secteurs public et privé) ;
- Objectif 1.V Renforcer la connectivité numérique (principalement dédié au développement du réseau et de la 5G sur les territoires).
Il s’agit d’objectifs financés par le FEDER dont ils absorbent une part substantielle : sur les 26,3 milliards d’euros alloués à l’Italie au titre du FEDER, 9,2 milliards d’euros (soit plus d’un tiers) sont destinés à l’objectif 1. La programmation régionale et nationale du FEDER reflétera cette structure générale, définie dans la projet actuel de l’accord de partenariat.
De toute évidence, le numérique est dans tous les cas une dimension transversale qui est également explorée (et explorable) dans le cadre d’autres objectifs et sous-objectifs liés aux Fonds structurels.
De même, le Dispositif de récupération et de résilience qui s’articule en Italie dans le Plan national de récupération et de résilience (PNRR), prévoit l’allocation d’un minimum de 20 % des ressources à la transformation numérique. Sans préjudice de la pertinence du numérique pour toutes les missions et composantes, le PNR italien consacre spécifiquement le numérique :
- la première mission (Numérisation, Innovation, Compétitivité, Culture et Tourisme, dotée d’un total de 49 milliards d’euros, soit 22 % des ressources), divisée en trois composantes (Administrations publiques, Système de production et Tourisme et Culture, dotées respectivement d’environ 11, 30 et 8 milliards d’euros) ;
- les grands domaines de la sixième mission (Santé), divisée en deux volets, dont le premier (7,5 milliards d’euros) concerne la télémédecine et le second (11 milliards d’euros) la numérisation du service national de santé.
Les initiatives de la Fondazione CRT : Impact Deal et autres projets
Le caractère central des technologies numériques, au niveau européen et pour le développement des territoires, a suscité une activité intense au niveau local, visant à promouvoir et à développer leur énorme potentiel. Par exemple, l’action du Fondation CRT (créateur et promoteur du Guide de l’Europlanning ) fournit de nombreuses informations intéressantes et variées, destinées (en plus de son territoire de référence) aux acteurs italiens et européens.
Parmi ces initiatives, on peut citer Impact DealIl encourage le développement de projets entrepreneuriaux à vocation sociale et environnementale à partir d’ensembles de données mis à disposition par un groupe d’organisations partenaires.
Les entreprises bénéficiaires, sélectionnées à l’issue d’un appel ouvert au niveau européen, ils pourront bénéficier d’un parcours « d’accélération » sur mesure, grâce à la mise à disposition d’ensembles de données précieux et à des activités spécifiques de formation et de tutorat, visant à leur utilisation efficace et à l’amélioration de l’impact social et environnemental de leurs projets.
L’appel est en ligne à l’adresse suivante impactdeal.eu jusqu’au 3 avril 2022.
Une journée d’information est prévue le 9 mars 2022.
Le programme d’accélération comprendra deux phases. La première phase, d’une durée d’environ deux mois, consiste en un cours visant à fournir des compétences spécifiques en science des données, en intelligence artificielle et en entrepreneuriat d’impact. La deuxième phase, d’une durée d’environ trois mois, accélérera la croissance des entreprises par le développement de projets concrets et de solutions basées sur des données, grâce au mentorat et à des partenariats stratégiques.
Le cours comprend un Data Pitch, avant l’été, au cours duquel les entreprises sélectionnées pourront présenter leur proposition de valeur prospective pour convaincre les partenaires du programme d' »investir » en eux en partageant l’accès à des ensembles de données, et un Demo Day à la fin du cours où des investisseurs financiers potentiels ayant une vocation particulière pour l’investissement d’impact seront impliqués.
Il est disponible ici une présentation avec le calendrier et toutes les informations importantes.
Impact Deal est également ouvert aux organisations publiques et privées désireuses de partager leurs ensembles de données et d’améliorer leur contribution aux défis sociaux, en participant à un programme d’échange de données. Data Club (dont Banca Sella, la ville de Turin et la Fondation SNAM sont désormais membres) et un programme de formation à la gestion des données destiné à ses membres.
Impact Deal est née de la collaboration entre Fondation CRT avec Microsoft et avec OGR Turin et compte parmi ses partenaires la Consortium TOP-IX (dont nous avons parlé à d’autres occasions) : 1 | 2), le Centre de la science des données pour le bien social (un centre promu par la Fondazione CRT et dédié à la création de valeur publique à partir des données), Appel de données, Impact Hub e Ashoka.
Le numérique, une mine d’opportunités
Cette brève analyse met en lumière quelques-unes des raisons pour lesquelles le numérique est au centre des intérêts et des priorités politiques de l’Union européenne : il s’agit d’un domaine dans lequel l’Union européenne a un rôle important à jouer. un facteur clé pour répondre aux grands défis mondiauxà la fois « macro » (développement, compétitivité, sécurité, environnement, société) et « micro » (réponse aux problèmes spécifiques des citoyens et des territoires, santé, éducation et formation).
Cette analyse met également en évidence la raison pour laquelle notre Guide consacre une attention particulière au thème du numérique : il s’agit d’un thème transversal qui touche à tous les principaux domaines d’intervention des projets européens et qui ouvre de grandes opportunités d’application et d’innovationdans tous les secteurs.
Enfin, le thème du numérique est l’un de ceux qui suscitent le plus d’intérêt, non seulement au niveau international, mais aussi au niveau local : de nombreuses initiatives sont proches de nous, comme Impact Deal lancé par la Fondazione CRTreprésentent des exemples d’excellence, accessibles et capables d’apporter un réel changement grâce au potentiel des nouvelles technologies.
Pour vous lancer dans cette aventure et en savoir plus, ne manquez pas la date du 3 avril (date limite pour l’appel à propositions Impact Deal) et la journée d’information du 9 mars, où vous pourrez poser toutes les questions utiles aux organisateurs.
Nous espérons que cette revue inspirera les acteurs du numérique et ceux qui sont actifs dans des domaines non connexes à proposer de nouvelles idées innovantes et des projets réussis.